De nouveaux métiers, tels que « conseiller info énergie » ou « maître composteur », émergent depuis quelques années. L’économie dite verte a suscité l’espoir d’une création de nombreux emplois. Concourant au déploiement d’un modèle économique soutenable à long terme, les filières vertes permettraient de développer des produits, services et technologies écologiquement plus efficients. Dans ce contexte de transition écologique, le renouvellement de nos façons de produire et de consommer nécessite l’adaptation des savoir-faire. Le développement des éco-activités s’appuie sur une dimension territoriale forte soulevant la question de la résilience locale et l’adaptation des métiers par la transition de compétences est nécessaire au développement des filières vertes.
Entre filières spécifiques et verdissement des métiers existants, cette synthèse livre un aperçu des composants de l’économie verte nantaise. S’agit-il d’une création d’emplois ex nihilo ou de l’évolution généralisée de l’existant ? Sur quels leviers s’appuyer localement pour renforcer les filières de l’économie verte ? En quoi sont-elles stratégiques pour la métropole nantaise ? Son territoire est-il outillé pour s’engager dans une évolution généralisée de son économie locale ?
L’économie verte, quelles opportunités pour les métiers nantais ? – Les synthèses de l’Auran #27
25 juin 2018