Avec 2 700 personnes seniors en plus chaque année dans la métropole, il s’agit d’anticiper, préserver ou compenser la capacité à se mouvoir tout en tenant compte de la pluralité des profils et besoins des seniors. Une population plus exigeante, moins captive, qui veut être pleinement intégrée à la vie sociale et associée aux services publics
Le vieillissement important de la population va plus jouer un rôle d’amplificateur de déséquilibres déjà existants (augmentation des personnes connaissant des difficultés financières, physiques, cognitives…) que d’un générateur de nouvelles problématiques. Au-delà de l’âge, la question est plus de savoir comment la collectivité va prendre en compte l’augmentation d’une population fragilisée pour laquelle une moindre mobilité est un risque d’accroître l’isolement, de diminuer les opportunités d’interactions sociales et donc d’avoir un impact sur leur santé.